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Auteurs: Paul-Jean Toulet
Date de naissance: 1867
Date de mort: 1920
Description:

A l'Alcazar neuf, où don Jayme
A Londres je connus Bella
Aimez-vous le passé
Ainsi, ce chemin de nuage
Alcôve noire
Amarissimes
Au détour de la rue étroite
Avril, dont l'odeur nous augure
Bayonne ! Un pas sous les Arceaux
Boulogne
C'était longtemps avant la guerre
C'était sur un chemin crayeux
C'était, dans les vapeurs du nard
Carthame chatoyant, cinabre
Ce fut par un soir de l'automne
Ces roses pour moi destinées
Cet huissier, qui jetait, l'été
Chevaux de bois
Comme à ce roi laconien
Comme les dieux gavant leur panse
D'un noir éclair mêlés
Dans la rue-des-Deux-Décadis
Dans le lit vaste et dévasté
Dans le silencieux automne
De tout ce gala de province
Dessous la courtine mouillée
Douce plage où naquit mon âme
Éléphant de Paris
Embrassez-moi, petite fille
En Arles
En souvenir des grandes Indes
Enfin, puisque c'est Sa demeure
Épitaphe
Fô a dit...
Géronte d'une autre Isabelle
Il pleuvait. Les tristes étoiles
In memoriam J. G. M.
Industrieux fils de Dédale
Iris, à son brillant mouchoir
J'ai beau trouver bien sympathique
J'ai vu le Diable, l'autre nuit
L'Alchimiste
L'immortelle, et l'oeillet de mer
L'ingénue
La Cigale
La première fois
La vie est plus vaine
Le coucou chante
Le Garno
Le microbe : Botulinus
Le sonneur se suspend, s'élance
Le temps d'Adonis
Le tremble est blanc
Les trois dames d'Albi
Longtemps si j'ai demeuré seul
Me rendras-tu, rivage basque
Molle rive dont le dessin
Nane, as-tu gardé souvenir
Nocturne
Non, ce taxi, quelle charrette
Nous jetâmes l'ancre, Madame
Ô jour qui meurs à songer d'elle
Ô poète, à quoi bon chercher
On descendrait, si vous l'osiez
Pâle matin de Février
Plus oultre
Pour une dame imaginaire
Princes de la Chine
Puisque tes jours ne t'ont laissé
Puisque tes jours ne t'ont laissé
Quand l'âge, à me fondre en débris
Quel pas sur le pavé boueux
Quelquefois...
Réveil
Rêves d'enfant
Saigon : entre un ciel d'escarboucle
Soir de Montmartre
Sur l'océan couleur de fer
Sur le canal Saint-Martin glisse
Tandis qu'à l'argile au flanc vert
Tel variait au jour changeant
Toi qu'empourprait
Toi qui fais rêver, ô brune
Toi, pour qui les dieux du mystère
Tout ainsi que ces pommes
Toute allégresse a son défaut
Trottoir de l'Élysé'-Palace
Un Jurançon 93
Vous qui retournez du Cathai
Vous souvient-il de l'auberge