A Paris, en été, les soirs sont étouffants...
Adagio
Avril
Brune
C'est vrai, j'aime Paris d'une amitié malsaine...
Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère
Chanson d'exil
De la rue on entend sa plaintive chanson
De même que Rousseau jadis fondait en pleurs
Décembre
Elle sait que l'attente est un cruel supplice
En automne
Epitaphe
Espoir timide
Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?
Etoiles filantes
Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle
Invocation
J'adore la banlieue avec ses champs en friche
J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge
Janvier
Je suis un pâle enfant du vieux Paris...
Juin
L'allée est droite et longue, et sur le ciel d'hiver
L'Amazone
La Cueillette des Cerises
La mémoire
La petite marchande de fleurs
Le crépuscule est triste et doux comme un adieu
Le lis
Le Rêve du Poète
Mai
Matin d'Octobre
Menuet
Mon Père
Morceau à quatre mains
Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse
Nostalgie parisienne
Novembre
Orgueil d'aimer
Petits bourgeois
Pitié des choses
Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir
Réponse
Ritournelle
Romance
Ruines du coeur
Septembre au ciel léger taché de cerfs-volants
Serment
Souvenir du Danemark
Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne
Volupté des parfums ! — Oui, toute odeur est fée
Vous êtes dans le vrai, canotiers, calicots
A l'éternel madame
Adagio
Avril
Brune
C'est vrai, j'aime Paris d'une amitié malsaine...
Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère
Chanson d'exil
De la rue on entend sa plaintive chanson
De même que Rousseau jadis fondait en pleurs
Décembre
Elle sait que l'attente est un cruel supplice
En automne
Epitaphe
Espoir timide
Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?
Etoiles filantes
Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle
Invocation
J'adore la banlieue avec ses champs en friche
J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge
Janvier
Je suis un pâle enfant du vieux Paris...
Juin
L'allée est droite et longue, et sur le ciel d'hiver
L'Amazone
La Cueillette des Cerises
La mémoire
La petite marchande de fleurs
Le crépuscule est triste et doux comme un adieu
Le lis
Le Rêve du Poète
Mai
Matin d'Octobre
Menuet
Mon Père
Morceau à quatre mains
Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse
Nostalgie parisienne
Novembre
Orgueil d'aimer
Petits bourgeois
Pitié des choses
Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir
Réponse
Ritournelle
Romance
Ruines du coeur
Septembre au ciel léger taché de cerfs-volants
Serment
Souvenir du Danemark
Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne
Volupté des parfums ! — Oui, toute odeur est fée
Vous êtes dans le vrai, canotiers, calicots
A l'éternel madame